La FNUJA, réunie en congrès en CORSE du 20 au 24 mai 2009,
1) rappelle les extrêmes difficultés rencontrées par les jeunes avocats africains et la précarité de leur situation professionnelle, entend poursuivre les jumelages, parrainages et échanges mis en place,
2) se félicite de la création de la Fédération Africaine des Unions de Jeunes Avocats, véritable organe représentatif de la défense des jeunes avocats africains, et interlocuteur privilégié de la FNUJA avec laquelle une convention de partenariat a été signée lors du congrès.
3) Consciente de l’importance des travaux de la CIB en faveur de la promotion du rôle et du statut de l’avocat dans le monde francophone,
4) affirme que la FAUJA doit être au sein de la CIB le représentant incontournable des jeunes avocats africains, tout comme la FNUJA représente les jeunes avocats français,
5) ainsi, il a été convenu :
- que la FAUJA s’engage à faire désigner par les associations de jeunes avocats locales au moins un représentant par pays, qui assistera chaque année au congrès de la CIB et devra présenter un rapport sur la situation des jeunes membres de chaque barreau concerné : cette liste devra être communiquée par la FAUJA et la FNUJA à la CIB en vue du prochain congrès de la CIB au TOGO
- que la FAUJA et la FNUJA s’engagent à demander à la CIB de bien vouloir inviter les représentants désignés,
- Que la FAUJA s’engage avec la FNUJA à élaborer un contrat type de collaboration qui devra être soumis au vote du Conseil de l’Ordre de chaque barreau africain concerné,
6) La FNUJA rappelle qu’en Afrique, l’accès au droit et à la justice, ainsi qu’à l’assistance d’un avocat restent le privilège d’une infime minorité de justiciables,
- entend maintenir les actions jusqu’à présent menées, notamment au BENIN et au TOGO, afin d’offrir aux justiciables les plus démunis, une assistance juridique jusqu’à présent inexistante,
- s’engage à étendre ce projet à d’autres pays dépourvus d’un véritable système d’aide juridique.
1) rappelle les extrêmes difficultés rencontrées par les jeunes avocats africains et la précarité de leur situation professionnelle, entend poursuivre les jumelages, parrainages et échanges mis en place,
2) se félicite de la création de la Fédération Africaine des Unions de Jeunes Avocats, véritable organe représentatif de la défense des jeunes avocats africains, et interlocuteur privilégié de la FNUJA avec laquelle une convention de partenariat a été signée lors du congrès.
3) Consciente de l’importance des travaux de la CIB en faveur de la promotion du rôle et du statut de l’avocat dans le monde francophone,
4) affirme que la FAUJA doit être au sein de la CIB le représentant incontournable des jeunes avocats africains, tout comme la FNUJA représente les jeunes avocats français,
5) ainsi, il a été convenu :
- que la FAUJA s’engage à faire désigner par les associations de jeunes avocats locales au moins un représentant par pays, qui assistera chaque année au congrès de la CIB et devra présenter un rapport sur la situation des jeunes membres de chaque barreau concerné : cette liste devra être communiquée par la FAUJA et la FNUJA à la CIB en vue du prochain congrès de la CIB au TOGO
- que la FAUJA et la FNUJA s’engagent à demander à la CIB de bien vouloir inviter les représentants désignés,
- Que la FAUJA s’engage avec la FNUJA à élaborer un contrat type de collaboration qui devra être soumis au vote du Conseil de l’Ordre de chaque barreau africain concerné,
6) La FNUJA rappelle qu’en Afrique, l’accès au droit et à la justice, ainsi qu’à l’assistance d’un avocat restent le privilège d’une infime minorité de justiciables,
- entend maintenir les actions jusqu’à présent menées, notamment au BENIN et au TOGO, afin d’offrir aux justiciables les plus démunis, une assistance juridique jusqu’à présent inexistante,
- s’engage à étendre ce projet à d’autres pays dépourvus d’un véritable système d’aide juridique.