Presque tous les Ordres des Cours d’Appels de NIMES, MONTPELLIER, AIX-EN-PROVENCE et de Corse avaient donc répondu présents pour débattre de sujets qui préoccupent actuellement la Profession (formation continue, publicité, Grande profession d’Avocat, …)
Parmi les interventions les plus remarquées, il faut citer (dans l’ordre de passage) :
- celle du bâtonnier Olivier GOUJON (NIMES) sur l’accès au droit, qui propose notamment que la Profession, hors les cas de l’aide pénale d’urgence, se désengage totalement du processus financier de l’aide juridictionnelle, afin de ne plus supporter cette charge inadmissible et de placer l’Etat et les collectivités face à leurs responsabilités ;
- celle du bâtonnier Gérard CHRISTOL, ancien président de la Conférence des Bâtonniers, sur le thème de la représentation nationale, qui partage manifestement les mêmes convictions que la FNUJA sur la nécessité d’une représentation unique (et non plus tripartite comme elle l’est dans les faits), les qualités et défauts perfectibles du CNB, enfin l’importance de la place des syndicats dans cette représentation ;
- enfin celle de Madame Soraya AMRANI MEKKI, professeur de droit à l’Université PARIS X NANTERRE, membre de la Commission « MAGENDIE 2 », laquelle analysait de façon technique et avec beaucoup de sens critique le processus de déjudiciarisation en cours tant par ses objectifs que les méthodes envisagées pour y parvenir.
Parmi les interventions les plus remarquées, il faut citer (dans l’ordre de passage) :
- celle du bâtonnier Olivier GOUJON (NIMES) sur l’accès au droit, qui propose notamment que la Profession, hors les cas de l’aide pénale d’urgence, se désengage totalement du processus financier de l’aide juridictionnelle, afin de ne plus supporter cette charge inadmissible et de placer l’Etat et les collectivités face à leurs responsabilités ;
- celle du bâtonnier Gérard CHRISTOL, ancien président de la Conférence des Bâtonniers, sur le thème de la représentation nationale, qui partage manifestement les mêmes convictions que la FNUJA sur la nécessité d’une représentation unique (et non plus tripartite comme elle l’est dans les faits), les qualités et défauts perfectibles du CNB, enfin l’importance de la place des syndicats dans cette représentation ;
- enfin celle de Madame Soraya AMRANI MEKKI, professeur de droit à l’Université PARIS X NANTERRE, membre de la Commission « MAGENDIE 2 », laquelle analysait de façon technique et avec beaucoup de sens critique le processus de déjudiciarisation en cours tant par ses objectifs que les méthodes envisagées pour y parvenir.