Les Jeunes Avocats se joignent, sans réserve, à l’appel du Conseil National des Barreaux pour une Journée d’action nationale pour l’aide juridictionnelle, le 5 juin prochain.
Les Avocats doivent faire preuve de détermination et d’unité pour défendre le système d’aide juridictionnelle, et ce dans l’intérêt tant des justiciables que de la profession.
Les gouvernements successifs croient devoir proposer des réformes superficielles et irrémédiablement inacceptables !
Alors que le système de l'aide juridictionnelle se meurt, les pouvoirs publics font preuve d’un manque de volonté politique inadmissible.
Il faut que cela cesse.
Les avocats ont, jusqu'ici, assuré, à leur détriment, le service public de l'aide juridictionnelle.
Si lorsque nous sommes conciliants rien ne bouge, nous cesserons de l'être.
L'état doit prendre ses responsabilités. Le budget dédié au financement de l’aide juridictionnelle doit être doublé.
Et faire payer les avocats n'est pas une option.
La taxe sur le chiffre d'affaires des cabinets d'avocats est inacceptable par principe, et inadmissible quant à son dessein réel : le désengagement de l’Etat.
Il faut en finir avec cette obsession de vouloir faire payer ceux qui portent le système de l'aide juridictionnelle à bout de bras.
Le Gouvernement ne peut se contenter de beaux discours sur la nécessité de renforcer l'accès au droit et à la Justice. Il doit se saisir des solutions pertinentes et pérennes : d’une part en mettant en œuvre des financements permettant de compléter, en fonction des besoins exprimés, la dotation de l’Etat et d’autre part, en rationalisant la gestion et l’organisation administrative de l’aide juridictionnelle, afin de réaliser des économies substantielles permettant une juste rémunération des avocats.
La Fédération Nationale des Unions des Jeunes Avocats, qui ne renoncera jamais à ce combat, appelle les UJA, leurs adhérents et leurs sympathisants à se mobiliser autour des actions qui seront organisées, ce 5 juin, dans leur barreau respectif.
Les Avocats doivent faire preuve de détermination et d’unité pour défendre le système d’aide juridictionnelle, et ce dans l’intérêt tant des justiciables que de la profession.
Les gouvernements successifs croient devoir proposer des réformes superficielles et irrémédiablement inacceptables !
Alors que le système de l'aide juridictionnelle se meurt, les pouvoirs publics font preuve d’un manque de volonté politique inadmissible.
Il faut que cela cesse.
Les avocats ont, jusqu'ici, assuré, à leur détriment, le service public de l'aide juridictionnelle.
Si lorsque nous sommes conciliants rien ne bouge, nous cesserons de l'être.
L'état doit prendre ses responsabilités. Le budget dédié au financement de l’aide juridictionnelle doit être doublé.
Et faire payer les avocats n'est pas une option.
La taxe sur le chiffre d'affaires des cabinets d'avocats est inacceptable par principe, et inadmissible quant à son dessein réel : le désengagement de l’Etat.
Il faut en finir avec cette obsession de vouloir faire payer ceux qui portent le système de l'aide juridictionnelle à bout de bras.
Le Gouvernement ne peut se contenter de beaux discours sur la nécessité de renforcer l'accès au droit et à la Justice. Il doit se saisir des solutions pertinentes et pérennes : d’une part en mettant en œuvre des financements permettant de compléter, en fonction des besoins exprimés, la dotation de l’Etat et d’autre part, en rationalisant la gestion et l’organisation administrative de l’aide juridictionnelle, afin de réaliser des économies substantielles permettant une juste rémunération des avocats.
La Fédération Nationale des Unions des Jeunes Avocats, qui ne renoncera jamais à ce combat, appelle les UJA, leurs adhérents et leurs sympathisants à se mobiliser autour des actions qui seront organisées, ce 5 juin, dans leur barreau respectif.