Par sa participation active à cette manifestation, l’ANAAFA rappelle qu’elle est une institution de la Profession pour la Profession. En nous permettant de proposer un programme de formation de très grande qualité, elle se positionne parmi les institutions techniques essentielles
de la Profession, aumême titre que l’ENADEP, LPA ou la CREPA.
À l’heure où la profession d’avocats a des velléités d’expansion de son champ d’activité, notamment en direction des métiers du chiffre, l’ANAAFA peut et doit constituer un des vecteurs de cette évolution.
L’ANAAFA peut aider la profession d’avocat à réaliser sa propre révolution, demanière à ce que les avocats demeurent ce qu’ils ont toujours été : un pilier de la démocratie.
Rappelons-nous la phrase de Lampedusa dans le Guépard : « Faut-il que tout change pour que rien ne change ? ». Elle doit nous faire comprendre que si nous voulons rester ce pilier de la démocratie, il nous faut accepter de nous adapter à la société dans laquelle nous évoluons.
Jepense que c’est avec des hommes ouverts de coeur autant qued’esprit que l’ANAAFA parviendra à jouer ce rôle.Votre Président, le Bâtonnier Bertrand Gasse, avec lequel j’ai eu le plaisir d’échanger et de collaborer tout au long de cette année passionnante oeuvre dans ce sens. Je souhaite à nos successeurs respectifs de travailler dans la même harmonie, avec la même amitié pour l’épanouissement de nos institutions.
De notre côté, nous continuerons à soutenir et à promouvoir l’action de l’ANAAFA, notamment grâce à la présence au sein de son Conseil d’Administration de deuxmembres d’honneur de notre fédération que sont Katy Cissé et Christophe Thévenet. Qu’ils soient remerciés très chaleureusement pour leur action qui constitue à n’en point douter un trait d’union essentiel entre l’ANAAFA et la FNUJA.
Olivier BURETH
Président de la FNUJA
de la Profession, aumême titre que l’ENADEP, LPA ou la CREPA.
À l’heure où la profession d’avocats a des velléités d’expansion de son champ d’activité, notamment en direction des métiers du chiffre, l’ANAAFA peut et doit constituer un des vecteurs de cette évolution.
L’ANAAFA peut aider la profession d’avocat à réaliser sa propre révolution, demanière à ce que les avocats demeurent ce qu’ils ont toujours été : un pilier de la démocratie.
Rappelons-nous la phrase de Lampedusa dans le Guépard : « Faut-il que tout change pour que rien ne change ? ». Elle doit nous faire comprendre que si nous voulons rester ce pilier de la démocratie, il nous faut accepter de nous adapter à la société dans laquelle nous évoluons.
Jepense que c’est avec des hommes ouverts de coeur autant qued’esprit que l’ANAAFA parviendra à jouer ce rôle.Votre Président, le Bâtonnier Bertrand Gasse, avec lequel j’ai eu le plaisir d’échanger et de collaborer tout au long de cette année passionnante oeuvre dans ce sens. Je souhaite à nos successeurs respectifs de travailler dans la même harmonie, avec la même amitié pour l’épanouissement de nos institutions.
De notre côté, nous continuerons à soutenir et à promouvoir l’action de l’ANAAFA, notamment grâce à la présence au sein de son Conseil d’Administration de deuxmembres d’honneur de notre fédération que sont Katy Cissé et Christophe Thévenet. Qu’ils soient remerciés très chaleureusement pour leur action qui constitue à n’en point douter un trait d’union essentiel entre l’ANAAFA et la FNUJA.
Olivier BURETH
Président de la FNUJA