FNUJA
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Le Bâtonnier Mario Stasi nous a quittés.
C'est l'une des plus belles figures du barreau que j'aime qui s'est éteinte.
Le Barreau de la générosité, du partage et de la tolérance.
Celui de l'éloquence si juste mise au service des plus belles causes.
Ce barreau qui m'a donné envie de devenir avocat et de le rester.
Je revois son sourire radieux, alors qu'il félicite un jeune confrère africain qui vient de remporter un premier prix d'éloquence.
J'entends encore son rire, dans cet avion improbable qui nous emmène au fin fond du Mali.
Je l'écoute nous raconter ses plaidoiries dans les stades, sous le régime de Pinochet, et cette incroyable audience devant la cour constitutionnelle du Gabon.
J'entends ses discours contre la peine de mort, la torture, la corruption et les avocats qui n'en ont cure.
Je sens encore son énergie, l'amour que lui inspirait notre profession, sa passion pour la défense.
Et je l'entends me demander, il n'y a pas si longtemps, si nous pourrions encore plaider ensemble en Afrique...
Sa générosité et sa passion étaient sans bornes.
C'est aussi pour ça que nous l'avons tant aimé.
La FNUJA présente à sa famille, et particulièrement à son fils Mario-Pierre, notre ami et Confrère, ses plus sincères condoléances.
C'est l'une des plus belles figures du barreau que j'aime qui s'est éteinte.
Le Barreau de la générosité, du partage et de la tolérance.
Celui de l'éloquence si juste mise au service des plus belles causes.
Ce barreau qui m'a donné envie de devenir avocat et de le rester.
Je revois son sourire radieux, alors qu'il félicite un jeune confrère africain qui vient de remporter un premier prix d'éloquence.
J'entends encore son rire, dans cet avion improbable qui nous emmène au fin fond du Mali.
Je l'écoute nous raconter ses plaidoiries dans les stades, sous le régime de Pinochet, et cette incroyable audience devant la cour constitutionnelle du Gabon.
J'entends ses discours contre la peine de mort, la torture, la corruption et les avocats qui n'en ont cure.
Je sens encore son énergie, l'amour que lui inspirait notre profession, sa passion pour la défense.
Et je l'entends me demander, il n'y a pas si longtemps, si nous pourrions encore plaider ensemble en Afrique...
Sa générosité et sa passion étaient sans bornes.
C'est aussi pour ça que nous l'avons tant aimé.
La FNUJA présente à sa famille, et particulièrement à son fils Mario-Pierre, notre ami et Confrère, ses plus sincères condoléances.
