La FNUJA rappelle que les travaux menés par le CNB sur la modification de l’article 15 du RIN sur le domicile professionnel avaient pour objet de mettre fin aux tentatives de tiers d’imposer à la profession des modalités d’exercice salarié en entreprise qu’elle a refusé à maintes reprises.
Pour en finir avec ces attaques récurrentes visant notre profession, la FNUJA a soutenu ces travaux et voté en faveur de la modification proposée (domiciliation secondaire), dans un contexte de dépôt de deux amendements présentés au Sénat en faveur des juristes d’entreprise dont un prévoyant leur inscription sur un tableau B tenu par les ordres.
Les élus se sont exprimés en responsabilité dans un contexte de risque réel pour la profession de se voir imposer un exercice par des tiers dont elle ne veut pas.
Aujourd’hui, les deux amendements en faveur des juristes ont été écartés devant le Sénat, suite notamment à l’avis défavorable du gouvernement. De toute évidence, le rejet de ces amendements aurait été plus compliqué à obtenir si la profession n’avait pas été en mesure de présenter une évolution de ses règles répondant aux impératifs des entreprises.
Si les débats internes ne doivent pas être éludés – et la FNUJA y participera activement comme elle l’a toujours fait – il convient de faire front uni contre les tentatives de déstabilisation de la profession pour éviter de nous voir imposer ce que nous ne voulons pas.
Pour en finir avec ces attaques récurrentes visant notre profession, la FNUJA a soutenu ces travaux et voté en faveur de la modification proposée (domiciliation secondaire), dans un contexte de dépôt de deux amendements présentés au Sénat en faveur des juristes d’entreprise dont un prévoyant leur inscription sur un tableau B tenu par les ordres.
Les élus se sont exprimés en responsabilité dans un contexte de risque réel pour la profession de se voir imposer un exercice par des tiers dont elle ne veut pas.
Aujourd’hui, les deux amendements en faveur des juristes ont été écartés devant le Sénat, suite notamment à l’avis défavorable du gouvernement. De toute évidence, le rejet de ces amendements aurait été plus compliqué à obtenir si la profession n’avait pas été en mesure de présenter une évolution de ses règles répondant aux impératifs des entreprises.
Si les débats internes ne doivent pas être éludés – et la FNUJA y participera activement comme elle l’a toujours fait – il convient de faire front uni contre les tentatives de déstabilisation de la profession pour éviter de nous voir imposer ce que nous ne voulons pas.