Sur la rénovation de la démocratie sociale
Les négociations menées sur la représentativité, le développement du dialogue social et le financement du syndicalisme ont abouti à la définition d’une « position commune » signée par la CGT, la CFDT, le Medef et la CGPME.
Si elle peut comprendre la nécessité de clarifier le fonctionnement de la démocratie sociale, l’UNAPL rappelle qu’il s’agit, pour la seconde fois, de la transcription législative d’un texte à la négociation duquel elle n’a pas participé et qui est, en conséquence, loin d’être adapté aux TPE, qui représentent pourtant la majorité des professions libérales.
Si elle peut comprendre la nécessité de clarifier le fonctionnement de la démocratie sociale, l’UNAPL rappelle qu’il s’agit, pour la seconde fois, de la transcription législative d’un texte à la négociation duquel elle n’a pas participé et qui est, en conséquence, loin d’être adapté aux TPE, qui représentent pourtant la majorité des professions libérales.
Sur la réforme du temps de travail
Selon l’UNAPL, la réforme du temps de travail a été pensée pour les grandes entreprises alors que le seul échelon pertinent du dialogue social pour l’UNAPL est la branche. Elle émet donc les plus grandes réserves quant aux modalités d’application du texte aux TPE.
« Non seulement les négociations du projet de loi n’ont pas respecté l’éthique démocratique qui veut que chaque décision résulte d’une concertation entre les partenaires sociaux, mais de plus, le contenu du projet de loi néglige et pénalise fortement les petites entreprises » regrette Alain Vaconsin, Président de l’UNAPL.
« Non seulement les négociations du projet de loi n’ont pas respecté l’éthique démocratique qui veut que chaque décision résulte d’une concertation entre les partenaires sociaux, mais de plus, le contenu du projet de loi néglige et pénalise fortement les petites entreprises » regrette Alain Vaconsin, Président de l’UNAPL.
A propos de l’UNAPL
L’UNAPL regroupe 63 organisations syndicales représentatives de toutes les professions libérales, soit plus de 600 000 entreprises libérales des secteurs du droit, de la santé, de la technique et du cadre de vie. Ce secteur économique représente le quart des entreprises françaises et 9% de l’emploi total du secteur privé.