Après une présentation complète des éléments du débat par le Bâtonnier Philippe Tuffreau, vice-président du CNB, qui a rappelé l'historique de la réflexion de la profession en la matière, ainsi que les arguments des partisants et des opposants à l'exercice de l'avocat en entreprise, une discussion nourrie s'est engagée avec les participants, malheureusement trop peu nombreux malgré l'importance de la question pour l'avenir de la profession, l'assistance n'étant essentiellement composée que de quelques membres du CNB, Bâtonniers ou représentants des syndicats.
La FNUJA était représentée par son président, Loïc Dusseau, et le co-responsable de sa Commission prospective, Romain Carayol, ainsi que par les nouveaux présidents des UJA de Paris, Valentine Coudert, et du Val d'Oise, Emmanuel Mailleau.
Loïc Dusseau a rappelé la position de la FNUJA, opposée à toute fusion ou rapprochement, telle qu'affirmée et réaffirmée à 3 reprises dans ses motions des Congrès de Paris en 2004, La Grande Motte en 2005 et Martinique en 2006 (cf. textes des motions jointes ci-dessous) pour demander au président du CNB, afin de nous permettre de poursuivre notre réfléxion :
- d'une part, d'effectuer une étude d'impact destinée à évaluer les conséquences économiques et sociales de cette éventuelle réforme sur la profession d'avocat,
- d'autre part, de réclamer aux pouvoirs publics, sans plus attendre, la représentation obligatoire des entreprises par un avocat devant toutes les juridictions, y compris les tribunaux de commerce, tribunaux d'instance et conseils de prud'hommes.
Débat à suivre donc dans tous les Barreaux et au CNB...
La FNUJA était représentée par son président, Loïc Dusseau, et le co-responsable de sa Commission prospective, Romain Carayol, ainsi que par les nouveaux présidents des UJA de Paris, Valentine Coudert, et du Val d'Oise, Emmanuel Mailleau.
Loïc Dusseau a rappelé la position de la FNUJA, opposée à toute fusion ou rapprochement, telle qu'affirmée et réaffirmée à 3 reprises dans ses motions des Congrès de Paris en 2004, La Grande Motte en 2005 et Martinique en 2006 (cf. textes des motions jointes ci-dessous) pour demander au président du CNB, afin de nous permettre de poursuivre notre réfléxion :
- d'une part, d'effectuer une étude d'impact destinée à évaluer les conséquences économiques et sociales de cette éventuelle réforme sur la profession d'avocat,
- d'autre part, de réclamer aux pouvoirs publics, sans plus attendre, la représentation obligatoire des entreprises par un avocat devant toutes les juridictions, y compris les tribunaux de commerce, tribunaux d'instance et conseils de prud'hommes.
Débat à suivre donc dans tous les Barreaux et au CNB...